saka

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lundi 31 mai 2010

et j'oubliais... !


... à Anaïs Nin, dont j'ai tellement aimé le "Journal", plus encore que ses fictions, et, ET (comment ai-je pu oublier de la citer, elle, par-dessus tout !) Virginia Woolf dont je me suis toujours sentie si proche, que ce soit dans son "Journal", ses essais, ses romans, tout, j'ai tout aimé. Hommage, double, triple hommage aussi à Doris Lessing ("Le carnet d'or" et toute la série de "Les enfants de la violence", jusqu'à ses derniers romans ) Edith Wharton, sublime contemporaine de Henry James (mais je l'ai peut-être citée précédemment, j'sais plus), Jean Rhys, Eudora Welty pour ses nouvelles tellement du Sud (des Etats-Unis), Suzan Minot, Kaye Gibbons, Willa Cather, Elizabeth Taylor (pas l'actrice, bien sûr) et Anne Fine, à l'humour et la cruauté "so british", Harper Lee pour son unique et merveilleux "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur", Rosetta Loy l'italienne, et la merveilleuse -espagnole- Carmen Martin Gaite (ah ! "La reine des neiges", quelle splendeur !). Tant et tant dont je me sens si proche, sans arriver à la hauteur de leur talent, mais qu'importe ! Tant de livres que j'ai envie de relire, si je pouvais échapper à mon inlassable désir de découvertes de lectures nouvelles, alors que ma bibliothèque -totalement anarchique et dans une permanente et terrifiante expansion- recèle un si grand nombre de trésors. Et encore, je n' ai cité que des femmes et il y a tant d'écrivains hommes dont je pourrais parler, ou que je pourrais évoquer, avec la même passion. Tant de livres qui m'ont nourrie, me nourrissent toujours... Il me faudrait sept vies, comme les chats, pour relire et découvrir... Mais je crois que ce ne serait même pas suffisant. Je crois que le jour où je n'aurai plus ce désir de lire, je mourrai. Sans regrets, car vivre sans lire, sans curiosité, n'aura plus d'intérêt.

mardi 25 mai 2010

à elles...


...Karen Blixen, Christiane Rochefort, Edith Wharton, Carson Mac Cullers, Sylvia Plath, Jennifer Johnston, Zadie Smith, Nuala O' Faolain, Paula Fox, Joyce Carol Oates et toutes celles dont le nom ne me revient pas à l'esprit. A toutes ces femmes, qui ont (ont eu) tant de talent et le courage de se détacher de tout conformisme de classe et de société. Je sais, il y a plein de mecs aussi, mais ce sera pour une autre fois.

en hommage à Karen Blixen...

... Christiane Rochefort, Carson Mac Cullers, Sylvia Plath, Edith Warton, Eudora Welty, Susan Minot, Zadie Smith, Jennifer Johnston, Nuala O'Faolain, Paula Fox et tant d'autres dont les noms ne me reviennent pas à l'esprit mais que j'aime et admire. Je lève mon verre (Château-Margaux 2007 ) à leur talent, leur courage et leurs øeuvres.

lundi 24 mai 2010

j'y crois pas ??!!!

J' ai réussi ! C'est Karen Blixen et son petit-duc (ou chouette chevêche?) ! Il faut que je relise "La ferme africaine", je n'ai gardé aucun souvenir d'une relation avec un petit-duc, mais il est possible que j'ai oublié parce que je l'ai lu il y a longtemps et que je n'étais pas encore directement concernée.
Karen Blixen était beaucoup plus belle qu'elle n'apparaît sur cette photo-là, mais quelle importance ?
Ce soir, je n'ai pas le courage, mais il faut que je parle un jour du ballet des martinets, chaque année à leur retour, au-dessus de ma maison, depuis que j'ai sauvé l'un d'entre eux.
Ouais, bon, j'ai réussi à envoyer cette photo mais il m'aura fallu deux jours ou trois, et je ne sais déjà plus par quel tâtonnement, hasard, coup de chance, j'y suis arrivée.

Zut alors !

Ben, c'est pas Karen Blixen, comme tout un chacun peut s'en douter. Mais qu'est-ce que j'ai fait ? Où est passée la photo de Karen Blixen ?????

eh bien...

C'est raté, je n'ai pas réussi à inclure la photo de Karen Blixen. Mais comment j'ai fait, les autres fois ?! L'informatique est sans pitié, c'est un outil sadique d'humiliation, de dévalorisation de soi, de colère impuissante. Je hais l'informatique.

dimanche 23 mai 2010

échec et mat...

Une fois de plus. Je croyais pouvoir joindre cette photo de Karen Blixen, que j'ai réussi à numériser, ce qui est vraiment facile, mais je ne sais plus où je l'ai rangée dans l'ordinateur, je ne me souviens plus de rien, sinon que l'informatique ça peut être aussi terrifiant, humiliant, que jouissif quand on arrive à maîtriser le truc.

Karen Blixen

Merveilleux(se) écrivain(e), et femme exceptionnelle (n'oublions pas qu'elle a publié ses premiers livres sous un nom d'homme: Isak Dinesen). Et voilà que je découvre ce documentaire, qui ne m'a rien appris certes, mais m'a permis de voir des images d'elle, de revoir sa maison que j'ai visitée, près de Copenhague, l'arbre de sa propriété sous lequel elle a souhaité être enterrée. Et, enfin, cette photo présentant le doc : elle aussi a apprivoisé "son" petit-duc ! C'est peut-être plutôt une chouette chevêche, je ne sais pas, je ne suis pas suffisamment experte en ornithologie, mais le petit-duc me semble plus foncé et peut-être encore plus petit, et je suis très jalouse parce qu' "il" n'est jamais venu jusque sur mon épaule. Je pense qu'il faut plus de temps que je ne lui en ai consacré, il faut être seule aussi, sans élément perturbateur. Je me suis fait une soirée petit-ducs il y a quelques temps dans la maison du Gard, au pluriel, parce qu'ils étaient plusieurs, j'ai pu les voir parce que les platanes ont été élagués, et qu'ils venaient se poser, à tour de rôle, curieux de ce faux petit-duc humain à qui ils répondaient cependant. Moments de bonheur.