Par rapport à l'article précédent : "Un élu varois exemplaire", j'aurais d'ailleurs dû mettre "exemplaire" entre guillemets comme je viens de le faire à l'instant mais d'aucuns auront compris que cette exemplarité était à prendre au second degré. Ce qui me chiffonne et motive cette modification ou rectification ou etc. (voir le titre ci-dessus), c'est que le lien ne fonctionne pas donc je reprends depuis le début : ce "monsieur" (si j'ose dire) publie sur son compte twitter suite à la formation du nouveau gouvernement ceci : "Et Valérie elle n'a pas droit à un ministère comme Ségolène ? Au nom de la justice du plumart (sic) ! ". Devant le tollé provoqué par ce message débile et d'une orthographe pour le moins approximative, il efface ce tweet et présente piteusement ses excuses : "Bon, excusez mon trait d'humour mais un tel gouvernement laisse vraiment dubitatif et on peux (re-sic) se poser des questions sur le casting"
Deux fautes d'orthographe sur deux messages (vite, il faut se cotiser pour lui offrir un Bescherelles). Quant à la qualification qu'il fait du premier message, je vous laisse juge : de "l'humour", ça ? Ce truc graveleux, de bas étage et quasiment diffamatoire, qui pue la jalousie, il oublie, ou fait semblant, que Ségolène Royal, d'un tout autre niveau intellectuel, a déjà été ministre et eu accès à des fonctions auxquelles il ne pourra jamais prétendre, Dieu merci. Quant à "Valérie" qu'il nomme par son prénom avec une familiarité qu'il ne peut sûrement pas revendiquer, malgré tous les défauts qu'elle peut avoir, -nul n'est parfait- elle a certes excellé aussi dans la pratique du tweet catastrophique mais au moins, sans fautes d'orthographe et, par ailleurs, elle a fait une honorable carrière de journaliste sans afficher d'ambitions politiques à ma connaissance.
Nous sommes là devant un échantillon du mâle méditerranéen caricatural : machiste, inculte, libidineux et fier de l'être, tout au moins dans un premier temps, puis dans un deuxième temps feignant un repentir, la rage au coeur, sans doute dans l'incapacité de comprendre l'insanité de ses propos qu'il ose qualifier d' "humour" !
Deux fautes d'orthographe sur deux messages (vite, il faut se cotiser pour lui offrir un Bescherelles). Quant à la qualification qu'il fait du premier message, je vous laisse juge : de "l'humour", ça ? Ce truc graveleux, de bas étage et quasiment diffamatoire, qui pue la jalousie, il oublie, ou fait semblant, que Ségolène Royal, d'un tout autre niveau intellectuel, a déjà été ministre et eu accès à des fonctions auxquelles il ne pourra jamais prétendre, Dieu merci. Quant à "Valérie" qu'il nomme par son prénom avec une familiarité qu'il ne peut sûrement pas revendiquer, malgré tous les défauts qu'elle peut avoir, -nul n'est parfait- elle a certes excellé aussi dans la pratique du tweet catastrophique mais au moins, sans fautes d'orthographe et, par ailleurs, elle a fait une honorable carrière de journaliste sans afficher d'ambitions politiques à ma connaissance.
Nous sommes là devant un échantillon du mâle méditerranéen caricatural : machiste, inculte, libidineux et fier de l'être, tout au moins dans un premier temps, puis dans un deuxième temps feignant un repentir, la rage au coeur, sans doute dans l'incapacité de comprendre l'insanité de ses propos qu'il ose qualifier d' "humour" !