... du point de vue de mes chats, bien sûr. Ce qui est déjà mieux que rien. Sauf que leur demande de câlins, de caresses, d'amour me cassent un peu (beaucoup, parfois) les pieds. Il paraît que le "ronronnage" d'un chat apaise, fait baisser la tension, alors quand il y en a deux, qu'est-ce que ça doit être ?! Je vais peut-être finir hypotendue, en état de léthargie totale. Le problème, c'est l'ordre de priorité, le gros noir (primo-arrivant, orphelin précoce non sevré) VEUT être dans mes bras et me baver dessus abondamment, la grise tigrée doit se rabattre sur le haut du canapé à cinq centimètres de ma tête, j'ai un ronron dans l'oreille gauche, un autre dans l'oreille droite et leurs sacrés foutus poils qui volent partout et s'agglutinent sur mes vêtements. Le temps que je passe à me brosser et le budget investi dans les brosses adhésives me semblent absolument scandaleux et de toutes façons abusifs ! Je me demande pourquoi je me laisse toujours avoir du point de vue affectif et compassionnel, tant avec les humains qu'avec les animaux, sans doute une vieille culpabilité et/ou culpabilisation héritées de mon enfance culpabilisante (trois fois la "culpabilité " -et de quatre !- dans la même phrase ). Je me demande à quoi m'ont servi mes années d'analyse ? Question qui mérite d'être approfondie mais pas ce soir.
Rien à voir, mais hier j'avais le moral dans les bottes (rangées cependant pour l'été) et j'ai lu "La tarte et le suppositoire" de Michel Houellebeurre, Prix Concours 2010, préfacé par Fabrice Del Dingo, c'est plein de jeux de mots et de contrepèteries du même acabit, par moments totalement absurde et surréaliste, et j'avoue avoir bien ri pendant une vingtaine de minutes (ça fait à peu près une quarantaine de pages), ce qui, d'après ce que j'ai lu un jour, a augmenté mon espérance de vie - mais je ne sais plus dans quelle proportion, désolée- Merci à mon amie Larck qui, lors d'une virée entre filles, m'a incitée à commander et lire ce pamphlet !
Rien à voir, mais hier j'avais le moral dans les bottes (rangées cependant pour l'été) et j'ai lu "La tarte et le suppositoire" de Michel Houellebeurre, Prix Concours 2010, préfacé par Fabrice Del Dingo, c'est plein de jeux de mots et de contrepèteries du même acabit, par moments totalement absurde et surréaliste, et j'avoue avoir bien ri pendant une vingtaine de minutes (ça fait à peu près une quarantaine de pages), ce qui, d'après ce que j'ai lu un jour, a augmenté mon espérance de vie - mais je ne sais plus dans quelle proportion, désolée- Merci à mon amie Larck qui, lors d'une virée entre filles, m'a incitée à commander et lire ce pamphlet !